Il y a quelques temps, je suis tombée amoureuse. Amoureuse de la décoration black and white. Il restera toujours au fond de moi une part d’affection pour elle. Pour son style radical, son élégance sans concession, son contraste puissant, son intemporalité. Mais je me suis levée ce matin avec une allergie inquiétante pour l’immaculé. Et, comble pour quelqu’un qui ne peut plus voir en peinture ses murs : j’ai une furieuse envie de les repeindre.L’idylle entre le black and white et moi aura duré plus d’un an et notre relation fut passionnelle (du black and white pas un peu, ni beaucoup, ni même passionnément… du black and white À LA FOLIE !) Pas une once de couleur n’était acceptée dans mon séjour. Mais voilà, comme le chantait Catherine Ringer, les histoires d’amour finissent mal en général alors j’envisage de le quitter… pour le bleu nuit.